Ce film a très peu de chances de passer à la télévision tellement il aurait vite fait d’éveiller les consciences sur l’horreur abyssale qu’est ce féminisme suédois forgé sur des théories suprématistes misandres. Notez que la télévision suédoise a choisi de ne plus le diffuser, en dépit des prix remportés.
Nos apôtres nationales du féminisme, sincères ou pas, prennent pour évangile ses fondements tout en parlant de stricte égalité. Rien de surprenant puisque nous célébrons la mémoire d’une de leur modèle en la personne de Simone de Beauvoir, qui, dans le Deuxième Sexe, pensait stricto sensu que la femme était supérieure à l’homme. De même que ces féministes suédoises, au nom d’un combat égalitaire, sont allés jusqu’à exercer du lobbying pour que des mesures talibanesques soient mises en place: séparation des sexes dans le métro, obligation pour les petits garçons à uriner assis, abolition du plus vieux métier du monde avec pénalisation du client.
Car leur ennemi n’est non pas cette mentalité idiote fleurissant dans les comportements de certains sujets masculins appartenant à différentes couches de populations ou plus encore chez ces politiciens qui parlent de parité tout en étant les premiers à enfreindre le principe ( voir ceci). Leur ennemi c’est l’Homme, le Mâle qui porte les germes de la Guerre tout ça à cause d’un taux de testostérone plus élevé. L’Homme, cet être bestial dont il faut absolument se protéger parce que c’est dans sa nature de céder à ses instincts primaires qui lui feront bâtir des sociétés inégalitaires, où il sera à la pointe comme le prédirait la direction pointée par son phallus en érection.
Leur solution: la Castration, au sens Freudien du terme. Conjurer, objurguer, dévaloriser, inférioriser, tout ce qu’il y aurait de » Masculin », voire l’annihiler. Amusons-nous à un jeu: remplaçons le mot Homme par Noir, Blanc, Juif, Homosexuel, Blanc, ou Musulman, et nous obtenons une propagande nazie. Sur le féminisme suédois l’anthropologue Laura Agustin ne mâche pas ses mots en disant qu‘Orwell aurait pu l’appeler Grande Sœur.
Suite à la diffusion de ce film les recherches sur le Genre de l’universitaire Eva Lundgren ont fait l’objet d’une enquête et cette dernière s’est vue clouée au pilori par les médias suédois.
Merci aux Canadiens qui, eux, sont plus avancés que nous sur les questions sociales et sociétales.